Il y a une douceur abstraite spécifique aux femmes, le prophète صلى الله عليه وسلم l’a démontré en disant :
«Si j’avais ordonné à quelqu’un de se prosterner pour un individu, j’aurais sûrement ordonné à la femme de se prosterner pour son mari en raison de l’immensité de son droit sur elle.
Et une femme ne découvrira la douceur de la foi jusqu’à ce qu’elle s’acquitte du droit de son mari.»
Ainsi, la femme qui accomplit le droit de son mari en obéissant en Allâh et en s’acquittant des obligations d’Allâh, trouve une douceur dans son cœur qui est : La douceur de la foi.
Et les shayatin parmi les hommes et les djinns essaient de détourner la femme de cela, et de lui insuffler de mauvaises pensées, comme le fait qu’elle est égale à l’homme, ou bien que s’acquitter du droit de son mari est une faiblesse, une humiliation…
Ceci est une grande erreur !
Plutôt l’honorabilité de la femme est d’accomplir le droit de son mari en tant qu’obéissance à Allâh, ainsi elle trouvera dans son cœur douceur et plaisir.
La femme a son droit ainsi que son statut, l’islam l’a honoré, le musulman noble l’honore, mais l’acquittement du droit de son mari fait partie de son honneur, et ce n’est en aucun cas une humiliation, un rabaissement, une oppression ou une injustice.
Traduit par Oum Hafsah
Retranscrit par Oum Adam bint Abdallah
✅ Publié par la Chaîne منهاج السالكات – @MinhaajAsSaalikaat
Cheikh Souleyman Ben Salîm Allâh Ar-Ruheylî – الشيخ سليمان بن سليم الله الرحيلي