Maintenant, dans le monde islamique, vas à l’Est et à l’Ouest, tu trouveras des idoles et des tombes.
Tu trouves des villes de tombes qui sont invoquées en dehors d’Allâh et qui sont appelées au secours en dehors d’Allâh.
On voyage vers elles comme on voyage vers la Maison ancienne (la Ka’ba).
On tourne autour de ces idoles, on s’incline et se prosterne devant elles. Ils croient à leur sujet ce dont Abou Jahl aurait honte : qu’elles connaissent l’invisible et dirigent l’univers.
Je suis allé dans des pays où j’ai vu le recueillement, la soumission, l’humilité et le désir pour des morts qui ne possèdent pour eux-mêmes ni nuisance, ni utilité, ni mort, ni vie, ni résurrection.
Par Allâh, je n’ai pas vu ce recueillement devant la Maison ancienne !
Par le Seigneur du ciel, certains d’entre eux meuglent comme le meuglement du taureau.
Ils tombent et chutent devant l’entrée du saint, par désir, espoir, crainte et envie. Allâh est oublié.
C’est énorme !
Les prédications existantes, à part l’appel au Tawhid, se tiennent et regardent ces scènes honteuses.
On ne voit d’eux aucune condamnation.
Plutôt, ils les soutiennent.
Les jours des élections, ils vont à ces idoles ou à la plus grande d’entre elles.
Ils tombent devant elles, prostrés, et leurs apportent des fleurs et des offrandes, par vénération et glorification pour elles, au lieu d’appeler au Tawhid.
Par Allâh, ils font ces choses et sont considérés comme des prêcheurs islamistes.
Ils s’égarent et égarent la Oumma.
Ils la noient et la plongent dans le fond, dans l’égarement et le polythéisme.
Tu ne trouve aucune prédication qui fait face à ce paganisme à part la prédication d’Allâh.