…Il trouve une douceur immense dans son cœur.
Il existe une saveur imagée, qui est spécifique aux femmes, que le Prophète صلى الله عليه وسلم a exposée lorsqu’il dit :
«Si je devais ordonner à quelqu’un de se prosterner pour quelqu’un d’autre, j’aurais ordonné à la femme de se prosterner pour son mari, en raison de l’immensité du droit qu’il possède sur elle.
Et nulle femme ne trouvera la saveur de la foi dans son cœur, jusqu’à ce qu’elle s’acquitte du droit de ce dernier.»
La femme, lorsqu’elle s’acquitte du droit de son mari, obéissant par cela à Allâh, accomplissant l’ordre d’Allâh, elle trouve une saveur dans son cœur et celle-ci est la saveur de la foi.
Les démons parmi les Hommes et les Jinns essaient aujourd’hui de détourner la femme de cet ordre et de lui insuffler des doutes, en lui suggérant qu’elle est l’égale de l’homme et que le fait de s’acquitter du droit de son mari est de la faiblesse et de l’humiliation.
Et ceci est une grande erreur.
Car l’honneur de la femme est de s’acquitter du droit de son mari par obéissance à Allâh, elle trouvera ainsi dans son cœur une saveur et un délice immense.
La femme possède son droit, sa place.
L’Islâm l’a anoblie et le musulman noble l’anoblit également !
Mais le fait qu’elle remplisse ses devoirs vis-à-vis de son mari fait partie de sa noblesse, ce n’est pas de l’humiliation, ni du rabaissement, ni de la transgression ni de l’injustice…
✅ Traduit et publié par le chaîne Youtube – Sabil Al-Haqq
Cheikh Souleyman Ben Salîm Allâh Ar-Ruheylî – الشيخ سليمان بن سليم الله الرحيلي